Fairy Story
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 Alwenn Esteyan (terminé)

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Alwenn Esteyan
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Alwenn Esteyan


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MessageSujet: Alwenn Esteyan (terminé)   Alwenn Esteyan (terminé) EmptySam 24 Aoû - 9:49

Esteyan Alwenn

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    Nom : Esteyan
    Prénom :Alwenn
    Âge : 16 ans
    Guilde :  /
    Caractère :

    Faible, forte. Hésitante, sans pitié. Chaleureuse, froide – émotive, blasée. Double personnalité.

    Alwenn – Personnalité première.

    Depuis sa petite enfance, elle est d’une gentillesse excessive. Incapable de haïr qui que ce soit, toujours en train de donner à tort et à travers. Gentillesse accouplée à une maladresse morale sans égale, qui a le don de la mettre dans les situations les plus gênantes. Elle a du mal à nouer de réels liens avec les autres, et qu’on puisse éprouver de la haine à son égard la détruit complètement, et surtout stupidement. Toujours envahie de doutes, elle n’a absolument aucune confiance en elle, se hait plus que tout. Mais ce qui la trouble le plus,  c’est cette insensibilité qui croît en elle, au fur et à mesure qu’elle avance dans sa vie. Une insensibilité n’améliorant pas sa fragilité, mais qui lui a fait oublier la façon dont elle s’amusait durant ses jeunes années. Elle ressent toujours une vague sensation de joie par moments, mais elle est consciente qu’elle n’arrive plus à vivre avec la même intensité qu’auparavant. Elle a, à la mort de ses parents, commencé à réfléchir excessivement, en plus de l’hypermnésie dont elle souffre.

    Réfléchir excessivement, et donc tourner en rond.  Et toujours être en train de se tourmenter. Elle ne peut jamais s’arrêter de penser, allant jusqu’à me torturer elle-même, alors qu’elle essaie de se convaincre que ce qui la terrifie est futile.  Aussi n’est-elle pas encline à me confier aux gens, et plutôt du genre à tout garder pour elle, et ce même si elle rêverait d’avoir quelqu’un la comprenant. En somme, Alwenn est quelqu’un, uniquement dans sa personnalité première, de contradictoire. Par le fait  de toujours contredire ses propres pensées, par le fait d’être méfiante envers les mages alors que ses parents en étaient eux-mêmes. De plus, alors que la fatalité a fait d’elle un assassin, ôter la vie est quelque chose qui lui fait horreur. « Qui en ce monde a le droit de juger de la valeur de quelqu’un -  de son devoir de vie ou de mort ? Quand bien même il existait quelqu’un sur cette terre à qui on aurait conféré ce droit suprême, je ne suis sûrement pas cette personne. Je tue et trahis pour ma propre cause – je suis un être débectant. », ce sont ses convictions. Alwenn a un mal terrible à trouver un sens à ses actions.  Il lui est quasiment impossible de tenir une décision sans hésiter, ou sans fléchir lorsque l’on lui dit de le faire.

    En dehors de tout cela, parce qu’elle ne se plaint jamais et voit toutes les faveurs qu’on lui fait comme de grandes actions de la part des autres, Alwenn est facile à vivre.

    C’est quelqu’un d’aimé grâce à ses nombreuses qualités, notamment celles de la « bonne femme ». Serviable, un talent pour la cuisine, des bras accueillants et chaleureux, organisée et soucieuse des autres. C’est d’ailleurs pourquoi on lui confie souvent des enfants, et pourquoi ces derniers l’adorent, malgré sa nette propension à s’excuser.

    « I apologize for being so weak.  »

    Alwenn, personnalité seconde.

    Sourires tombés, larmes séchées. Aucune émotion. C’est une personnalité déclenchée par un instinct de survie, palliant aux hésitations d’Alwenn, et à l’ignorance qu’elle a de son propre pouvoir. Totalement froide, ses choix sont imprévisibles et il est rare de la voir aligner plus de deux mots. La voir, dans cet état, ouvrir la bouche relève du miracle total, et être témoin de la moindre expression d’émotion de sa part est aussi courant que de voir un quarantième jour dans un mois. Tous ses choix sont impartiaux et semblent être totalement naturels, comme si élaborer des stratégies lui était inné. Elle ne fait preuve de pitié ou d’amitié envers personne- tuer pour survivre ne la dérange pas plus que ça et c’est à peine si on peut penser qu’elle a de vraies convictions, hormis continuer à sauver l’autre part d’elle-même.  

    Cependant, lorsqu’il ne lui est pas indispensable de faire du mal, cette Alwenn s’en abstient. Tout ce qui compte réellement pour elle, c’est préserver tant bien que mal son alter ego, malgré toutes les questions qu’elle lui fait se poser, l’horreur née en elle envers elle-même. Elle veut juste la protéger, peu importe ce que sa moitié en pense.

    « I could do anything to protect her.  »

    Physique :
    Sa respiration était intense, agitée. Son visage était ensanglanté, mais il en avait enfin fini avec elle. Dans quelques instants, tout serait terminé – il la tuerait.

    Le jeune homme abattit sa lame en plein dans sa poitrine, avant de fermer brusquement les yeux. Jamais il n’avait imaginé qu’un jour il serait amené à voir la vie quitter quelqu’un, et encore moins une jeune adolescente. Mais aucun cri, aucun gémissement ne se fit entendre, et il sentait toujours son regard vide peser sur lui. Il ouvrit alors les yeux avec hésitation, envahi par la peur de faire face à la mort.

    Son corps svelte était étendu par terre. Ses longs cheveux châtains auparavant négligemment tressés s’étalaient à présent sur le sol, dévoilant son teint de macchabée. La bouche entrouverte, le regard dénué de toute émotion, elle avait tout d’une morte. Mais de l’endroit où le jeune homme l’avait frappée ne s’échappait aucune goutte de sang.

    Alors qu’elle aurait dû être morte, Alwenn continuait de le fixer avec insistance.

    La simple vue des yeux de cette adolescente l’effrayait. Ils étaient vides, totalement vides. Aucune émotion ne s’en dégageait, et simplement les fixer trop longuement semblait pouvoir le faire devenir fou. Lui qui avait le don d’empathie ne ressentait rien à l’approche de la jeune fille. Cependant, tout ça n’était rien comparé à la stupeur qu’il ressentit lors qu’il la vit se relever. Comme lorsqu’il l’avait vue pour la première fois, elle se tenait comme une loque humaine. Ses cheveux lui tombaient sur les hanches, et ne semblait ressentir aucune douleur alors qu’elle venait de se faire transpercer le cœur par son épée. Le bas de sa robe en soie était déchiré, laissant apparaître ses longues et fines jambes, qui se mouvaient dans une articulation machinale. Aucun doute, elle marchait vers lui.

    Il ne pouvait pas rester ici.

    ..........


    Même dans ses rêves les plus fous, jamais il ne s’était imaginé revoir cette jeune fille. Il l’avait croisée par hasard dans la rue, avait tenté de l’ignorer tant bien que mal. Mais elle avait remarqué qu’il lui accordait une attention inappropriée à une inconnue et lui avait souri. Ses joues s’étaient légèrement teintées de rose et toute cette indifférence dans son regard avait disparu. Son air de morte s’était dissipé, elle était différente. Mais aucune erreur, elle portait une robe en soie semblable à celle qu’il avait vue, sa chevelure nattés.

    Elle marchait cependant avec bien plus d’aisance et de grâce que celle qu’il avait transpercée, était vêtue avec soin et arborait un visage empreint de bienveillance. Une lueur étrange brillait dans ses yeux, et malgré la blancheur de son teint, elle paraissait bel et bien vivante. Et de surcroît plutôt mignonne. Cette jeune fille ressemblait à l’autre comme deux gouttes d’eau, mais avait tout de différent. Elle dégageait une émotion sans pareille, avait un sourire certes fragile mais réconfortant, une attitude empreinte de de mélancolie. Cette adolescente paraissait totalement fragile, semblait totalement inoffensive, du haut de son mètre soixante. Ces deux petites n’étaient pas les mêmes, il le croyait et n’en doutait pas, quoi qu’il eût pu voir.

    Mais croyait-il juste ?



    Histoire du personnage : « Papa, Maman ! J’espère que vous n’êtes pas trop occupés, en ce moment ! »

    Assise sur un fauteuil, ses pieds touchaient à peine le sol. Toute petite encore, Alwenn se souciait excessivement de la santé de ses parents, et ne voulait pas qu’ils en fassent trop, sinon pour sa sœur et elle. Elle voulait à tout prix qu’ils aillent bien, pour les rares fois où ils pouvaient passer des moments ensemble. Les discussions qu’elle avait avec eux étaient toujours tournées sur les mêmes sujets, à savoir leur santé, leur travail, les nouveautés, mais ne se tarissaient jamais. C’était toujours avec le cœur déchiré qu’ils se quittaient, sans pouvoir déterminer la date de leur prochaine rencontre. Et c’était cette tristesse qui faisait s’interroger Alwenn sur la raison pour laquelle sa sœur et elle ne vivaient pas avec leurs parents.

    « Maman ? »
    « Oui ma chérie ? »
    « Je t’aime. »

    Un long silence s’installa. La jeune femme eut un sourire mélancolique comme à chaque fois que sa fille lui disait cela. Comme à chaque fois, elle répondit un « moi aussi » rempli de douleur. Comme à chaque fois, l’incompréhension de la petite grandit – Alwenn ne comprenait pas.  


    ..........


    « Elizabeth  ! Lâche, c'est à moi ! »

    Concrètement, ni Alwenn ni sa sœur ne voyaient de réel problème à vivre en « famille d’accueil ». Elles avaient des adultes à leur disposition, que le temps avait sûrement contraints à leur porter de l’affection, et vivaient à peu près normalement. Seulement, Alwenn s’est toujours entêtée à préférer l’atmosphère familiale qui régnait lors de ses petites années, lorsqu’elle vivait encore avec ses parents, et la nostalgie de cette époque rendait sa situation bien plus oppressante qu’elle ne l’était réellement.

    « N'importe quoi ! C'est à moi ! »

    Les deux jeunes sœurs se disputaient souvent leurs poupées, même si elles étaient chacune l’une pour l’autre l’une des personnes qu’elles portaient le plus dans leur cœur. Mais ce jour-là, c’en était trop. Alwenn n’en pouvait plus.

    Elle et son aînée Elizabeth se disputaient une fois de plus la propriété d’un jouet, qu’elles écartelaient chacune de son côté, dans l’espoir que l’autre cèderait. Cependant, la première à céder fut la poupée, dont la rupture les avait laissées toutes deux au sol.

    « Qu’est-ce qu’il se passe encore ? »

    Lorsque la voix terne de sa tutrice lui parvint aux oreilles, la petite fille ne leva  même pas la tête. Ses yeux restèrent fixés sur le morceau de porcelaine qui lui était revenu, incapables de s’en détacher. Elle ne pouvait plus penser à rien, et encore moins répondre, et la rupture de la poupée avait enclenché au même instant une rupture en elle.

    « Alwenn, lâche ça, tu risques de te couper. »

    Peut-être à cause du ton vide qu’avait adopté la femme, ou autre chose, mais ce fut la phrase de trop. Alwenn se leva, puis courut en direction de la sortie, sans prêter attention aux personnes qui essayaient de la retenir. Très vite, la petite fille fut propulsée dans une nuit noire, courant sans regarder son chemin, sans savoir où elle allait. Elle avait froid, très froid, mais  elle continuait à courir tête baissée. Elle n’avait aucune idée de destination,  mais au fond d’elle était persuadée de pouvoir fuir vers un endroit réconfortant.

    C’était cette nuit-là qu’elle l’avait rencontré. Son pied avait heurté son corps, et elle s’était étalée dans l’herbe. Il s’était maladroitement  relevé,  puis, une main derrière la tête et l’autre tendue vers elle, s’était excusé.

    « Désolé ! Tu ne t’es pas fait mal au moins ?  »

    À ce moment-là, Alwenn eut l’étrange sentiment que si elle prenait sa main, elle baignerait dans la même lumière que lui, mais était restée immobile. Elle n’avait aucune idée de quoi faire, et avant de pouvoir réagir, le garçon lui avait sans hésitation ni gêne pris les mains, les inspectant d’un air inquiet. Puis il poussa un long soupir de soulagement.

    « Je m’appelle William Alexander Atharey. Appelle-moi Will, ou Alex, comme tu veux !  »

    « A… Alwenn. Je m’appelle Alwenn Esteyan. »

    «  C’est un joli prénom, Alwenn. »

    « Merci…»

    Ce William dégageait un charisme naturel, de par son sourire et son assurance. Il portait des vêtements que l’on devinait blancs sous la couche de terre qui les recouvrait, et avait les mains et les genoux pleins d’égratignures à l’aspect plus ou moins récent. Étrange garçon, mais à l'air jovial comme elle n’en avait jamais vu auparavant. Et si ce qui l’intriguait le plus chez lui était partagé entre son air insouciant et heureux et le peu de soin qu’il apportait à ses habits pourtant vraisemblablement de grande valeur, lui ne prêtait attention qu’à une chose…

    « Wouaw, tu es plutôt jolie ! »

    À cette époque, Alwenn ne savait quasiment rien du monde qui l’entourait. Elle savait lire, écrire, compter, et de ce point de vue-là, rien ne semblait lui manquer, et était une élève assez douée.  Cependant, elle n’avait aucune conception de la beauté ou autre chose, de la magie régnant à Fiore, des guildes, et n’avait jamais eu l’occasion de se voir dans un miroir.

    «  C’est vraiment cool de voir quelqu’un, à cette heure-ci !»
    Alwenn était tellement surprise de voir quelqu’un prendre la rencontre d’une jeune fille seule aussi tard si légèrement qu’elle n’avait rien trouvé d’autre à faire que sourire. Sourire interprété comme une acceptation à ce que William commence à se présenter en détails.

    Le temps passait, et il faisait de plus en plus sombre.  Alwenn se  sentait si aux côtés du garçon  que même si elle ne disait pas un mot,  avait oublié le vide qui était présent en elle auparavant. Mais elle dut refaire face à la réalité, lorsque William lui  demanda pour quelle raison elle trainait  en pleine nuit, et qu’elle n’était pas chez elle. Elle aurait  pu la lui retourner, elle aurait pu la contourner, mais elle avait répondu, clairement et simplement...

    « Je veux rentrer chez moi. »  

    Mais elle-même aurait eu toutes les peines du monde à comprendre ses paroles. Sur le coup, elle n’avait pas réfléchi à sa réponse, et avait sorti les premiers mots qui lui étaient venus à l’esprit.  William pencha alors la tête, comme s'il réfléchissait. Sa mine assurée laissa peu à peu place à une incompréhension des plus totales, et ce ne fut qu'à ce moment-là qu’elle se rendit compte de la bizarrerie de ma réponse et décida de lui expliquer la situation qu'était la mienne. La nuit s’était déroulée ainsi, pleine de confidences, pleine de rires enfantins.  Mais Alwenn imaginait déjà le pire pour son retour le lendemain…

    C’était cette nuit qu’elle l’a rencontré. William Alexander Atharey.


    ..........


    La réaction quant à son retour fut aussi violente qu’elle l’imaginait. Elizabeth restait en arrière et Alwenn se faisait sévèrement réprimander. Pourtant, tous ces reproches qu’on lui faisait ne la touchaient pas vraiment, comme si elle était isolée du monde, dans une bulle.  Et peut-être était-ce mieux ainsi.

    Les jours suivants, ses tuteurs avaient été exceptionnellement protecteurs, et faisaient attention à tout ce qu’ils disaient, même si tous pouvaient ressentir une certaine froideur dans leurs mots. L’incident fut vite oublié, mis sur le compte de la fatigue et du manque des parents. Et tout redevint comme avant…

    Enfin presque tout.

    Alwenn sortait régulièrement voir William, qui devint rapidement une personne très importante à ses yeux, un ami dont elle ne pouvait pas me passer. Avec lui, tout semblait si simple, si joyeux… C’est pourquoi elle aimait passer du temps en sa compagnie, et elle prit peu à peu l’habitude de se remémorer leurs discussions, lorsqu’elle se sentait mal. Ainsi, tout lui semblait plus beau.

    William était un garçon avec une grande-sœur et aux parents très gentils, lui avait-il dit. Ils partaient tôt le matin, rentraient tard le soir, s’absentaient parfois plusieurs jours, le laissant pendant la journée aux mains de ses nombreux précepteurs, tous débordés par cet enfant plein d’énergie. Aussi, prenait-il un malin plaisir à  les faire courir partout en disparaissant régulièrement dans la nature, qu’il affectionnait plus que tout. Découvrir le monde, quitte à faire de ses vêtements de vrais chiffons,  était son passe-temps, avec l’escrime, qui se démarquait de toutes les autres matières qu’on lui enseignait.  

    Un jour, il montrait son tableau d’insectes. Un autre, c’était autour de sa collection de sabres en bois. Et puis vinrent finalement ses amis.


    ..........



    C’était un jour d’été, où il faisait particulièrement chaud. William avait tenu à présenter ses amis les plus proches, qu’il connaissait pour la plupart par des relations de ses parents.

    Tous amassés dans l’herbe, ils entouraient Alwenn en la regardant avec insistance. Elle n’était absolument pas habituée à ce genre de réunions, bien qu’elles eussent un côté très convivial et vivant. Tous se bousculaient tous pour mieux voir la jeune fille, tandis que William les désignait un à un pour lui dire leur prénom, qu’Alwenn s’efforçait de retenir.

    « Poussez-vous, je vois rien ! »

    Plus turbulent que le reste de ceux qui l’entouraient, ce garçon s’était frayé un passage parmi tous les autres pour se retrouver face à la jeune fille. Elle bascula en arrière, mais William la rattrapa avant que son dos  ne puisse heurter le sol. Il poussa un soupir de soulagement semblable à celui qu’il avait fait le jour de leur rencontre, avant de la relever et de se retourner vers son ami.  

    « Interdiction de lui faire mal, compris ? »

    Tous se calmèrent instantanément. Enfin presque tous... Le garçon turbulent, qu’Alwenn croyait s’appelait Elias, lui avait doucement glissé un mot d’excuse à l’oreille, avant de répondre à William sur un ton de moquerie.

    « William est amoureux, William est amoureux !»

    Alwenn baissa la tête, étouffant un rire. Cela l’avait à la fois amusée  et embarrassée, mais  elle prit cette taquinerie avec humour. Elle imaginait déjà la réaction de William, qui allait crier au mensonge...

    « Eh, c'est pas vr...»  

    Il tourna la tête vers elle, l’observant quelques secondes. Comme elle l’imaginait, il avait commencé à nier la raillerie de son ami. Cependant, contre toute attente, il baissa la tête en rougissant.

    « C'est pas quelque chose dont vous avez à vous moquer…»

    Ce fut au tour d’Alwenn de rougir. Elle détourna le regard, et sentait son cœur battre à tout rompre. Tous les garçons semblèrent surpris de sa réponse, même Elias, qui avait lancé cette pique dans l’unique but d’agacer William. Il se leva brusquement, prit Alwenn par la main, prétextant qu'ilsn'avait rien à faire avec eux. Inconsciemment, elle souriait. Elle était contente, après tout.


    ..........


    Depuis qu’elle avait rencontré William, tout semblait à Alwenn beaucoup plus simple à supporter, et son envie de retourner chez moi s'était peu à peu estompée. Elle ne s’imaginait plus vivre sans lui, et pensait qu’ils étaient indissociables l'un de l'autre. À cette époque-là, il n’y avait que trois hommes dont elle était plus ou moins proche : lui, son père et son tuteur. A cet âge-là, quoi de plus normal de tomber amoureuse ? Enfant, elle n’y pensait même pas. Tout ça était étranger pour elle, et n'avait pas grande importance à ses yeux. Jusqu'à ce soir d'été...

    William était resté silencieux pendant tout le temps où ils marchaient. Il la tirait en avant, sans même la regarder. Alwenn voyaitle soleil descendre peu à peu, pour laisser place à la Lune, et se demandait où l'emmenait le garçon. Mais au moment où elle allait lui poser la question, il s’arrêta brusquement. Il leva la tête vers le ciel,  et porta ses mains à sa tête.

    « Raaaah ! Où est-ce qu'on peut bien être ! »

    La seule réaction d’Alwenn face à tant d’insouciance fut de rire. William s’était tourné vers elle, et lui souriait.

    « C'est sans importance, tu crois pas ? »

    Mais malgré tout, elle ne dit rien, et se contenta de lui rendre son sourire. Il se laissa tomber dans l'herbe, et elle le suivit dans sa chute.  Ses paroles de quelques heures plus tôt résonnaient encore dans sa tête, et elle mourait d'envie de le questionner à leur propos... Peut-être jugeait-elle ça peu approprié à la situation ? Peut-être n'osait-elle pas ? Elle ne dit rien, et regarda simplement les étoiles qui commençaient à apparaître dans le ciel.

    « Eh, Alwenn...»  

    Elle tourna la tête vers lui, qui n’avait pas détaché son regard du ciel.

    «  Oui  ? »  

    « Bah c'est que... en fait... euh...»

    C'était la première fois qu’Alwenn le voyait paniquer de cette façon. Lui qui était d’habitude assuré et ne réfléchissant pas à ses mots ressemblait à présent à un enfant ayant fait une énorme bêtise qu’il allait révéler à ses parents.  

    « Est-ce que... quand on sera grands, tu voudras bien te marier avec moi ? »

    Elle sentit le battement de son cœur s’intensifier, et ses joues commencer à me brûler. Mais elle répondit d’un ton jovial et sans hésitation.

    « Oui !»

    Ils n’étaient que deux enfants, et nombre de personnes auraient trouvé cela complètement pathétique. Mais du haut de ses 9 ans, Alwenn avait décidé d’une part de mon futur, qu’elle croyait alors pouvoir contrôler.

    C'était une nuit de pleine Lune qu’elle lui avait promis. Qu’elle lui avait promis qu'on resterait ensemble pour toujours.

    Et c'était sans savoir tout ce qui les séparait qu’elle lui avait promis…


    ..........



    « Quoi ?! »

    « Tu as bien compris, Alwenn...Toi et Lily revenez avec nous. »

    Ces paroles lui firent l’effet d’une bombe. Pourtant, à peine un an auparavant, rentrer chez elle était la chose qu’Alwenn désirait le plus au monde. Mais à présent, si elle partait, elle savait qu’elle ne reverrait plus jamais William. De plus, tout cela devenait de plus en plus étrange à ses yeux. Pourquoi tant de distance, rompue si soudainement ? Elizabeth, elle, n'avait l'air de se soucier de rien, et ce fut sa vue qui  fit se dire à Alwenn qu’elle se posait encore trop de questions. Alors elle se résigna, et continua à écouter les instructions de ses parents. Cependant, il lui restait une chose à faire, et elle pensait que c'était quelque chose d'indispensable : parler à William. Mais lorsqu’elle osa prendre la parole pour demander la permission de sortir, elle dut essuyer un refus violent, quilui ajouta des préoccupations. Elle ne voyait absolument pas ce qui pouvait être dangereux à fréquenter d’autre gens…


    ..........



    Elle était devant sa fenêtre, plantée là, sans savoir quoi faire. L'appeler ? Monter ? Attendre ? Timide comme elle l’était, elle opta pour la troisième option, qui s'avéra être la bonne. Au bout d'une dizaine de minutes, William était descendu, n'arrivant pas à dormir, et allait probablement retourner observer les insectes.  Cependant, il ne fut pas plus surpris que ça de la voir à sa fenêtre, à attendre. Après tout, il avait l’habitude de la voir ici, lorsque quelque chose la tracassait.

    Elle lui annonça mon départ, il me demanda si on allait vraiment plus se revoir. Alwenn mourrait d'envie de lui crier que si, que tout allait être comme avant. Mais elle savait que ce n'était pas possible, peu importe combien elle le voulait. Et lui répondre négativement lui déchira le cœur.

    « Dis...Et notre promesse ? »

    Il avait l'air désespéré. Cela troublait la jeune fille, car cette dernière savait William plus solide que  la majorité. Pour la première fois, elle était celle qui avait peur de blesser.

    « Désolée.... »

    « Tu m'oublieras pas au moins ?»

    Elle lui sourit, bien qu’elle eût l'envie d'éclater en sanglots. Elle lui prit la main, et ce fut le silence complet. Plus aucun bruit ne se fit entendre.

    « Alwenn ! »

    Alwenn ne put faire un mouvement. L’apparition soudaine de mes parents l’avait effrayée, autant à cause de la réaction qu’ils allaient avoir et son temps avec William écourté. Mais  le temps de tourner la tête vers William, il s’était déjà évanoui.  Ils prirent Alwenn par la taille, et l'emmenèrent. Ils l’emmenèrent chez elle, vers cette promesse de simplicité et de jovialité.  Cette énième promesse non tenue...


    ..........



    «  Alwenn, il y a quelque chose d’important qu’on doit te dire. »

    Son père l'avait assise au sol, et avait un regard grave.

    « Je… Nous…. »
    Alwenn était tout aussi troublée en voyant son père hésitant que lorsqu’elle était témoin de nervosité chez William « Que des tissus de mensonges pour faire croire qu’on est horribles. » , avait-il sifflé entre ses dents. « Continue, Alwenn. »

    «Tu sais, ici, à Fiore, beaucoup de gens peuvent utiliser la magie. Il a des guildes… Avec des mages… Des « bonnes » guildes, et des « mauvaises » guildes. Ta mère et moi avons fait partie d’une de ces… mauvaises guildes. Et nous sommes poursuivis. Autant par les justiciers du pays que par nos anciens compagnons.. »

    Alwenn le regardait d’un air stupéfait. Son enfance avait-elle été détruite par les fautes de ses parents ?   Tout était-ce de leur faute ?

    « Tu ne dois faire confiance à personne. »

    La petite fille était dans un état de léthargie totale. Les idées se bousculaient dans sa minuscule tête, et elle ne parvenait pas à une conclusion sans pouvoir la contredire. Ses parents avaient fauté, et c’était leur punition qu’elle devait subir. Mais tout le monde a le droit d’une deuxième chance et l’erreur est humaine – Alwenn ne savait plus quoi penser. Et à cet instant, Alwenn s’est partagée en deux.

    Les années passèrent, les jours tous pareils les uns que les autres. La vie défilait dans une monotonie sans pareille. Mais ce jour-là, Alwenn avait dû constater que sa mère était plus tendue qu’à l’accoutumée. Elle tremblait, tandis que son père s’efforçait de garder son calme, tout en jetant des coups d’œil furtifs à l’extérieur.  À chaque fois que l’une des petites filles parlait, l’un ou l’autre sursautait, si ce n’était les deux, si bien que le silence avait fini par s’installer.

    Coup de tonnerre. Des cris. Un éclat de verre.
    Sa mère s’était cachée sous la table. On entendait, malgré l’épaisse forêt qui séparait leur maison des autres familles, une agitation régner au dehors. Alwenn et sa sœur rejoignirent rapidement leur mère en-dessous du meuble, apeurées. Leur père entrouvrit la porte, mais tomba immédiatement à terre, dans un long râle de douleur. Alwenn ferma les yeux – elle ne voulait plus voir.

    « Maman... On va mourir ? »

    Tous frissonnèrent, et aucune réponse ne fut donnée.  Alwenn sentit monter en elle un sentiment ineffable : devrait-elle une nouvelle fois subir les conséquences de la bêtise passée de ses parents ? Allait-elle mourir de leur faute ? Toutes les pensées s’embrouillaient dans sa tête, et elle n’entendait même plus les cris alentours. Elle ne voulait pas… Elle ne voulait pas penser du mal de ses parents...

    « Nous proclamons aujourd’hui la fin de la fuite des traîtres Esteyan ! »

    Puis ce fut le grand vide. Plus rien ne se bousculait, plus rien n’était trouble. C’était comme si cet ordre lui avait été donné depuis le début, Alwenn le savait. Elle devait sauver sa peau. Elle devait tous les liquider, puis s’enfuir. Seule.
    Mais quelques heures plus tard, la jeune fille se réveilla, bien seule, à la lisière de la forêt. Presque aucune blessure, juste les mains tachées de sang. Aucune idée de ce qui s’était passé.
    Elle avait treize ans.

    Pourquoi était-elle sauve ? Qu’était-il advenu de sa mère et de sa sœur ? Est-ce que son père était toujours en vie ? Comment s’était-elle retrouvée là ? Encore, et toujours des questions. Trop de questions. Elle saturait. Elle avait l’impression de ne plus rien comprendre, rien… Elle désespérait.
    Comme si elle était en transe, Alwenn se voyait lutter contre elle-même. Contre cette main droite qui voulait se faire du mal, et l’autre qui voulait l’en empêcher. Elle le voyait, juste. Sans pouvoir réagir. La tête vide.  Puis la main droite l’emporta. Et le sang coula.

    Ils étaient sûrement tous morts. C’est ce qui lui vint à l’esprit, alors que la mixture écarlate dégoulinait.

    Elle avait mal, si mal. Tellement mal au cœur où un grand vide prônait. Cette douleur à la jambe n'était rien, rien du tout. Parce que si elle durait, tout allait aller mieux,  du moins… c’était ce qu’elle espérait. Elle était arrivée à ses limites, et, soulagée, elle se laissa lentement glisser vers le sommeil…


    ..........


    Cependant, Alwenn se réveilla. Elle était dans un autre endroit. Une pièce froide, sombre, à la forte odeur de sang. Quelques éclats de lumière surgissaient de ci et là, disparaissant dans un cri de souffrance.

    Un homme posa son pied sur son torse, y enfonçant son talon. Il la regardait avec dégoût, comme si rien que la toucher était la pire des choses. Pourtant, Alwenn était inerte. Tôt ou tard, elle allait finir ici, misérablement. Comme les autres. Sans que personne ne regrette sa mort, dans la réjouissance de centaines de personnes. Continuer à vivre lui semblait la pire des punitions, mais elle ne pouvait empêcher cet instinct de survie monter en elle.

    Et c’est ainsi qu’elle a une nouvelle fois survécu. Elle avait cligné des yeux, et à l’instant où elle les avait rouverts, c’était comme si plusieurs dizaines de minutes s’étaient écoulées. Elle était dehors, le soleil tapait, contrastant avec son ancien lieu de réveil. Les mains tachées, le sang ayant giclé sur son corps.

    Alwenn était seule, lancée vers la réponse à toutes ses questions. Elle avait décidé d’y répondre, et ne pouvait pas se détacher de cette envie de vivre, malgré tout ce qui l’amenait à penser qu’il serait mieux de tomber définitivement dans les abysses de la mort. Elle avait vivre. Et répondre à ses questions.
    Pour cela, elle avait besoin de quelqu’un. Elle ne pouvait pas rester ancrée dans cette solitude, et son choix se porta tout naturellement sur son amour d’enfance, William.

    Mêlée à la foule, Alwenn se demandait quoi faire. Il fallait qu’elle ait de l’argent, et retrouver un riche du nom d’Atharey ne pouvait pas être si difficile… Mais à quels changements allait-elle faire face ? Et s’il l’avait tout bonnement oubliée ?  Elle n’eut pas le temps de réfléchir à la réponse, que la foule s’écarta et se scinda en deux, pour laisser passer quelques personnes. Toutes vêtues de noir, 2 femmes, 3 hommes. Et sans faire attention au regard de la foule, Alwenn s’avança vers le groupe.

    « ... Will ? »

    Le vide total. Sa gorge était nouée, elle ne pouvait rien dire. Tant de choses avaient dû se passer en quatre ans... William avait grandi, la dépassait de plus d’une tête. Avec deux ans de plus qu’elle et sa poussée de croissance à retardement, c’était tout à fait normal. Il était vêtu d’un costume noir, sans poussière. Rien avoir avec le garçon d’antan, et ses uniformes blanc-sale.

    « Oui, Mademoiselle ?  »

    C’était comme si elle avait reçu un coup dans la poitrine. Alwenn n’ajouta rien, et se contenta de sourire, les larmes aux yeux, avant de s’excuser. Puis elle se retourna, se laissant engloutir par la foule. Non, elle n’avait pas besoin de lui. Elle pouvait tout faire seule. Elle n’avait besoin de personne. C’était ses pensées, sans sens qui lui venaient de nulle part.

    Après tout, Alwenn n’avait réellement besoin de personne. Car Alwenn avait son autre moitié, Alwenn. Et avec elle, elle allait devenir chasseuse de prime.


Couleur préféré : Euh... Bleu ? 8D
Rang : C
Ton chiffre porte bonheur : 9
Les ennemis de ton perso: Personne 8D
Un truc gênant que ton perso a fait :Euh... x)
L'acte le plus gentil qu'a fait ton perso : Il a donné un gâteau à Invité
Les amis de ton perso : Son autre moité 8DD
Code du règlement : I Love Fairies
VOTRE MAGIE :Alwenn n'est pas au courant de sa magie. (c'est ballot, parce que je peux pas la faire monter de rang x)) Son actionnement est dû à l'instinct de survie, et laisse place à son autre identité - qu'Alwenn ne connaît pas non plus. Son corps est rendu invulnérable aux attaques physiques, et est semblable à une carcasse vide, où il n'y a aucun point vital. Mais cette magie n'ayant aucun caractère offensif, et Alwenn était consciemment chasseuse de primes, cette dernière maîtrise l'escrime. (Ca rime 8DD)


HORS RPG
Pseudo ? Alwy'
Age ? 14 ans
Ce que vous pensez du forum ? Ilékoul o/
Le premier mot qui vous passe par la tête ? Bouillaaaa
AUtres ? Niop'


Dernière édition par Alwenn Esteyan le Sam 24 Aoû - 9:59, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Alwenn Esteyan (terminé)   Alwenn Esteyan (terminé) EmptySam 24 Aoû - 9:50

bonne chance pour ta prez^^
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MessageSujet: Re: Alwenn Esteyan (terminé)   Alwenn Esteyan (terminé) EmptySam 24 Aoû - 9:55

Merci, mais je l'ai déjà terminée x)
(Vilain copier coller d'une ancienne fiche D:)
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MessageSujet: Re: Alwenn Esteyan (terminé)   Alwenn Esteyan (terminé) EmptySam 24 Aoû - 9:57

joli^^
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MessageSujet: Re: Alwenn Esteyan (terminé)   Alwenn Esteyan (terminé) EmptySam 24 Aoû - 10:00

Merci merci :3
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MessageSujet: Re: Alwenn Esteyan (terminé)   Alwenn Esteyan (terminé) EmptySam 24 Aoû - 10:01

gâteau gâteau! *.*
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MessageSujet: Re: Alwenn Esteyan (terminé)   Alwenn Esteyan (terminé) EmptySam 24 Aoû - 21:23

Bonjour et Bienvenue sur Fairy Story !

Comme d'habitude Alwy', rien à dire sur tes fiches de présentations.. elles sont parfaites.

Je valide ta fiche. N'hésite pas à te servir des catégories Demandes, ainsi que Interviews et Journaux intimes pour exploiter ton personnage au maximum.
De plus, je rappelle qu'une aide au RP est disponible ici.
Enfin, n'oublie pas de voter pour nous sur les Top-sites , qui nous ramèneront du monde !
Bon jeu à toi !
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MessageSujet: Re: Alwenn Esteyan (terminé)   Alwenn Esteyan (terminé) EmptyDim 25 Aoû - 8:48

Merci beaucoup Smile
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